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Billet provenant de :Senegalaisement.com (post)
L'Afrique en général et le Sénégal en particulier reçoivent la visite d'une catégorie d'étrangers que nous appelons les s européens. Mais au sein de la population sénégalaise vit aussi une espèce de s africains. Découvrons ensemble ces espèces à part.
La Grosse conne européenne
La conne européenne (appelons-la la ) est tout simplement une crétine avec des théories fumeuses et un look très spécifique.
Avant d'arriver au Sénégal, elle avait déjà acheté son pantalon Batik vert jaune rouge. Car la est souvent coooooooool comme une rastafarienne (attention : si tu n'es pas rastafarienne mais que tu corresponds aux autres critères d'identification, tu peux quand même être une ).
La a des conversations qui deviennent vite gonflantes. Elle fume parfois des spliffs mais ce n'est pas une caractèristique obligatoire. Elle est rarement très jolie et adore faire chier la planète en jouant avec son djembé à deux balles.
La rêve d'aller à Kafountine pour retourner aux sources de l'Humanité, cultiver du chanvre et dormir sur la plage en parlant de la solidarité africaine et en se demandant combien elle pourrait gagner si elle était assistante sociale au Sénégal. La un peu vioque (plus souvent observable à Saly et ses environs) remercie Jah de lui avoir offert un africain 20 ans plus jeune qu'elle aime et qui l'aime du plus profond de son coeur malgré sa poitrine qui a commencé à se faire la malle à partir des années 80. Dès ses premiers jours au Sénégal elle téléphone à l'ambassade de France pour connaître les modalités d'obtention d'un visa pour celui qu'elle appelle déjà "son mari". La de Saly est l'espèce la plus naïve de Grosse conne. Elle a rarement le look Ajahman Rastafaraï.
Chez elle en Europe, la peut travailler dans différents secteurs : même si le plus souvent elle se contente de servir dans des cafés l'été pour ne rien glander et toucher le RMI le reste de l'année, il n'est pas rare qu'elle travaille aussi dans des secteurs dit "sociaux" (assistance sociale, associations, enseignement, etc...). Qui d'autre d'ailleurs que des associations, des cafés ou l'éducation nationale embaucherait une ?
Outre sa tenue vestimentaire, on peut reconnaître la grâce à sa coupe de cheveux. En effet elle se fait tresser "à l'africaine" dès que la première occasion se présente. C'est pour elle un signe d'intégration et de respect de la culture africaine. Si la est donc rarement jolie avant d'arriver, elle devient généralement insortable dès cette première séance de tressage. Car rien n'est plus laid que des tresses africaines sur une tête de blanche. Peu importe, elle n'a pas peur du ridicule même si le jour de son retour elle peut avoir un soupçon de regret en voyant la vingtaine d'autres qui se préparent comme elle à monter dans l'avion avec la même coupe à la con et le même djembé à la con. Elle qui se croyait unique, rebelle et originale...
N'ayant pas peur du paradoxe, la peut avoir déblatéré 10 minutes avant la séance de tressage sur les Africaines qui se blanchissent la peau pour ressembler à des Blanches. Mais ça ne la dérange pas de se faire des raies sur la tête laissant apparaître son affreux crâne blanchâtre pour faire comme les Africaines. La est décidemment très très conne.
La est d'une naïveté affligeante et comme on vous l'a dit plus haut, sa conversation et ses théories fumeuses sont rapidement gonflantes. Parmi les hautes pensées philosophiques et déclarations inédites que la peut sortir, on retrouve souvent les suivantes :
"Chez nous c'est le stress alors qu'ici c'est cooooooooooooool !"
"Chez nous y'a pas de solidarité ici vous êtes tous solidaiiiiiiiiiiiiiiiiiires !"
"Pourquoi voulez-vous venir en Europe, ici vous êtes tellement biennnnnnnnnnnn !"
(ces trois premières théories fumeuses peuvent être prononcées à proximité de trois enfants talibés en train de mendier et d'une vieille femme en train de mourir du paludisme. Dans ce cas là - et uniquement dans ce cas là - vous avez le droit de mettre un grand gnon dans la gueule de la )
"Demain je retourne à Kafountine !"
"Combien gagne une assistante sociale au Sénégal ? Je rêve de m'installer ici !" (allez ça aussi ça mérite un gnon)
La se retrouve souvent dans ce qu'elle appelle "une galère". En effet, vu que le plus souvent ceux qu'elle rencontre au Sénégal sont des s africains, il n'est pas rare : qu'elle se fasse arrêter par les flics, qu'elle se fasse piquer son passeport ou ses tunes, qu'elle se fasse entuber sur le paiement de la Peugeot 504 avec laquelle elle est descendue d'Europe. Même si la n'est généralement pas une "fille facile" elle ne dédaigne pas coucher avec un " africain" qui évidemment rêve de rester au Sénégal et n'a aucune arrière-pensée. Elle s'en sort au mieux avec des mycoses sur la chatte au pire avec un DAS qu'elle aura bien mérité. Au moins à son retour, elle coûtera cher à la sécurité sociale mais pas longtemps et ne coûtera rien à la collectivité pour sa retraite.
Outre les s, elle ne dédaigne pas discuter avec tous ceux que les gens normaux étrangers et sénégalais considèrent comme des parasites et des casses-couilles : vendeurs "d'objets d'art", pseudo-guides de mes couilles, tapeurs de djembés à deux balles, rastafariens malades, crados et chômeurs, etc....
Enfin, la , une fois revenue en France peut avoir des idées ingénieuses que personne n'a jamais eu avant : comme par exemple vendre des bijoux sénégalais de fabrication écologique sur les marchés du Tarn-et-Garonne ou donner des cours de djembé.
Si vous croisez une pendant votre séjour au Sénégal, ne la battez pas. Elle pourrait être votre soeur ou votre petite copine : les sont si nombreuses à visiter l'Afrique.
NB : Au Sénégal, la plupart des sont françaises (car les Français sont les plus nombreux étrangers). Mais les belges, espagnoles, italiennes et hollandaises commencent aussi à venir. Suissesses et Américaines font rarement partie des s. Hasard ou non, ce sont souvent aussi les plus jolies et les moins gonflantes.
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