lundi 26 janvier 2009

L'UMP veut des sanctions pour les "abus de grève"

L'UMP veut sanctionner ce qu'elle considère comme "l'abus du droit de grève"

AFP



A trois jours de la journée d'action en France, l'UMP a estimé lundi qu'"il faut continuer de modifier la loi" contre les "abus du droit de grève", préconisant des "sanctions financières" ou "pouvant engager la responsabilité personnelle des syndicalistes". Lire la suite l'article
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Frederic Lefebvre, porte-parole de l'UMP, s'exprime lors d'une conférence de presse, le 5 …Plus Agrandir la photo

Discussion: UMP

"Ce qui fragilise aujourd'hui le droit de grève, c'est l'abus de droit de grève", a estimé le porte-parole Frédéric Lefebvre, lors du point-presse hebdomadaire de l'UMP.

Les sanctions contre "les abus", "comme par exemple mettre en toute impunité les usagers dans des situations inacceptables où ils sont bloqués dans des trains", "cela doit pouvoir aller jusqu'à la sanction le plus grave, c'est-à-dire l'interdiction de responsabilités syndicales", a-t-il déclaré à l'AFP, reprenant une idée déjà avancée la semaine dernière.

"On peut parfaitement imaginer des sanctions financières contre des syndicalistes qui génèreraient des dégâts pour la sécurité, ou ayant un coût économique pour la collectivité. Et on peut imaginer que soit engagée leur responsabilité personnelle", a-t-il ajouté.

"La meilleure protection du droit de grève, c'est la lutte contre les abus de ce droit sinon, c'est la population qui se révolte contre les abus", a poursuivi le député des Hauts-de-Seine. Selon lui, "si l'on veut protéger le droit de grève, il faut mettre en place un arsenal juridique qui lutte contre les abus".

Interrogé en marge du point presse sur la visibilité des grèves en France aujourd'hui, le porte-parole a répondu : "c'est justement pour que les gens ne s'en rendent pas compte qu'il faut que l'on continue de modifier (la loi) pour éviter qu'il y ait des abus".

"Faire grève, ça doit permettre de porter un message politique, mais on ne doit pas le subir, (...) on ne doit pas être pris en otage, on ne doit pas être empêché de travailler", a-t-il ajouté.

samedi 24 janvier 2009

Jackson Pollock





Ces oeuvres ont été réalisées avec un générateur de peinture dont le Site a été réalisé par l'artiste grec Miltos Manetas (source http://fr.wikipedia.org/wiki/Jackson_Pollock)

Essaie ça ! >>> http://www.jacksonpollock.org/

mercredi 21 janvier 2009

Evaluation CM2 : la dictée

par VoyonsMonsieurDarcos.free.fr

Encore une preuve du non sens pédagogique
de ces évaluations !

Vos élèves n’ont pas encore passé la dictée.

Vous vous demandiez si vous alliez la retenir
comme exercice à garder…

Sur cet article, vous allez avoir 4 dictées de 4 élèves A, B, C, D à corriger en utilisant les critères de notation (1 ou 0) si pertinents pondus par notre administration.

Je vous laisse découvrir …

Base élèves : suivi individualisé

Pétition en ligne


Chassées par la porte, les compétences reviennent par la fenêtre

Posté par retraitbaseeleves sur 16 janvier 2009

Sorti par la grande porte de Base élèves en octobre passé, l’enregistrement des compétences revient en douce par le biais des évaluations des élèves de CM2 et de CE1

La nouvelle version de Base élèves, mise en place fin 2008 par l’éducation nationale, ne comporte plus les compétences de l’élève, qui posaient problème. En effet, alors que le dossier scolaire était la propriété des familles, base élèves est la propriété de l’État. Dès lors, tous les résultats des élèves restent accessibles par l’administration, avec le risque qu’ils soient un jour communiqués au privé. L’objectif final étant la carte européenne d’accréditation des compétences, souhaitée par la Table Ronde des Entrepreneurs, une cinquantaine d’entrepreneurs européens qui ont pensé pour nous ce que devait être l’Education, mais surtout le marché de l’Education.

Mais voilà que l’éducation nationale lance cette année des évaluations nationales des élèves de CM2 et de CE1. Or, les résultats de ces évaluations sont en lien direct avec Base élèves, puis « Base enseignants » :

1/ le BO, le CNIS, font apparaître la volonté de suivi individualisé des élèves

2/ il est dit que les résultats remontent de façon anonyme depuis l’école, mais elles comporteront très probablement l’INE quand Base élèves sera généralisée, puisque c’est le but de ces évaluations - ce qui les rend nominatives jusqu’à l’échelon académique puisque l’IA a la correspondance INE-nom. Ce qui correspond, de fait, à une interconnexion de fichiers (dès lors que deux fichiers/traitements de données possèdent le même identifiant, il y a interconnexion).

3/ Le lien se fera aussi avec la “base enseignants” (à laquelle le ministère donnera un autre nom, et qui sera très vite mise en place à partir de iprof) pour le suivi du soutien individualisé et la prime au mérite.

Sous couvert de modernisation, se met en place une société de contrôle à tous les niveaux.

Au sujet du livret scolaire électronique comprenant le livret de compétences et les résultats des évaluations :

« Les résultats positifs des évaluations seront attestés dès la prochaine rentrée dans le livret individuel de compétences. Ce livret sera un document personnel permettant aux élèves et aux parents d’être informés des composantes du socle commun et de suivre les progrès constatés dans l’acquisition progressive de leur maîtrise. Constitué dès l’école élémentaire, à la fin du premier palier du socle (classe de CE1) et transmis au collège, il suivra l’élève jusqu’à la fin de la scolarité obligatoire dans les diverses voies de formation retenues.
Le livret individuel de compétences est un des éléments du livret scolaire électronique qui sera progressivement mis en place pour chaque élève. Outre les informations relatives aux acquisitions des compétences du socle et aux différentes attestations scolaires liées aux programmes (brevet informatique et internet, attestation de première éducation à la route, attestation scolaire de sécurité routière, attestation de formation aux premiers secours), il recueillera les appréciations des enseignants sur la scolarité de l’élève, ainsi que les relevés de notes actuels. Ce livret scolaire sera accessible aux enseignants qui le renseigneront, aux élèves et à leurs parents qui le consulteront à partir des espaces numériques de travail (ENT), aux chefs d’établissement qui l’exploiteront. Au fur et à mesure de sa mise en œuvre, ce livret scolaire électronique se substituera aux documents papier.
Dès que seront prêts les textes des programmes révisés et précisés les modalités d’évaluation ainsi que le contenu et le mode d’utilisation du livret individuel de compétences, un calendrier de stages de formation des personnels pourra être mis en œuvre au plan national et dans les académies pour l’année scolaire en cours. »

Source :

lundi 19 janvier 2009

Petit pamphlet qui circule en ce moment :

Le Président et le Ministre

LE PRESIDENT
Entrez-donc mon ami et venez prendre place
Afin de me conter ce qui vous embarrasse
La réforme est lancée, elle avance à grands pas
Mais je vois bien qu’à tous celle-ci ne plait pas.
Aussi voudrais-je entendre de votre propre bouche
Pourquoi les enseignants prennent ainsi la mouche.

LE MINISTRE
Mon bienfaiteur et Prince ne vous alarmez point
Voyez comme en ces temps je sais rester serein.
J’ai fait ce qu’il fallait et fait preuve d’audace

LE PRESIDENT
Allez contez moi donc je ne tiens plus en place !

LE MINISTRE
J’ai d’abord pour vous plaire modifié les programmes
Pour faire des élèves des besogneux sans âme.
Ils se feront gaver du matin jusqu'au soir
Et n’auront plus de sens à donner au savoir ;
Voilà qui nous fera des citoyens dociles
Qui ne s’attacheront qu’à des choses futiles.

LE PRESIDENT
Fort bien, les programmes sont un bel artifice
Pour manoeuvrer les gens non sans quelque malice.
Voyez ce que je fis pour prendre le pouvoir
Promettant des réformes, n’en disant que très peu,
Pour qu’une fois reçu l’aval des isoloirs
Je puisse me sentir libre et faire ce que je veux !
Mais veuillez donc poursuivre votre plan de disgrâce
Car je veux tout savoir !

LE MINISTRE
Voilà ce qui se passe :
Je commence par rayer en trois ans les RASED
Et pour tromper les gens sur le maintien de l’aide
Je laisse aux enseignants l’entière liberté
De s’occuper tous seuls de la difficulté.
Ils auront pour cela comme unique bagage
La chance de pouvoir faire quelques journées de stage !
J’ai enlevé deux heures d’école par semaine
Mais évidemment pas pour ceux qui mal apprennent :
On dit la journée de trop longue durée
Qu’il faudrait réformer notre calendrier
Et moi je vous dis qu’il en faut d’avantage
Et qu’il faut les forcer même jusqu’au gavage !

LE PRESIDENT
C’est à n’en point douter une idée fort plaisante,
Le mérite sera la seule valeur payante !

LE MINISTRE
Pour ceux qui veulent apprendre de maître le métier
Je les envoie le faire à l’université.
Voyez l’inanité d’une bonne formation
Nous qui n’avons besoin que d’agents et de pions !
Cela vous plait-il ?

LE PRESIDENT
Assurément je pense,
Mon humeur est ravie et elle est d’importance
Car c’est elle qui règle le cours de mes pensées
Qui font toujours écho à l’actualité.
Mon caprice me met dans des emportements,
J’ai des mots qui ne sont plus ceux d’un Président,
Je flatte ce qu’il faut des instincts les plus bas,
Parle plus en mon nom qu’en tant que chef d’état,
Sur toutes mes idées je veux qu’on légifère
Et ne supporte pas qu’on m’empêche de le faire.
Des médias je me sers et grâce à mon emprise
Ils me suivent au mieux dans toutes mes entreprises,
Enfin, si j’utilise les services de la presse
C’est parce qu’aux yeux de tous il faut que je paraisse.
Mais contez-moi encore votre train de mesures.

LE MINISTRE
De l’école en danger j’augmente la fêlure :
Il existe des classes que l’Europe nous envie
Accueillant les plus jeunes des enfants du pays.
Il serait opportun de les faire disparaître
Pour affecter ailleurs ce réservoir de maîtres
Qui ne font de leur temps que des couches changer
Et ne connaissent point les joies de la dictée.
Des enseignants en moins réduiraient nos dépenses
Et il n’y aurait plus de maternelles en France !
Afin de remplacer les absences des maîtres
Avec tous ceux qui veulent, une agence va naître.
Si celui qui remplace se trouve être plombier,
La chaudière de l’école il pourra réparer,
S’il est mécanicien et connait son affaire
Les voitures des collègues il pourra bien refaire,
Et si par de la chance il se trouve enseignant
Il pourra pendre en charge d’une classe les enfants !

LE PRESIDENT
Je reconnais bien là votre astuce admirable
Et votre esprit retors qui ne se sent coupable !
Cette école qui veut faire des citoyens
Il faut qu’à l’avenir elle n’en fasse rien !
OEuvrez donc mon ami, la tâche n’est pas mince
Car c’est l’éducation qui menace les Princes !!!!

L.G janvier 09

Au Sénégal exactement...

Un peu rude mais tellement vrai !
Vive la liberté d'expression...

A lire >>>>>>>>>>>>>
Billet provenant de :Senegalaisement.com (post)


L'Afrique en général et le Sénégal en particulier reçoivent la visite d'une catégorie d'étrangers que nous appelons les s européens. Mais au sein de la population sénégalaise vit aussi une espèce de s africains. Découvrons ensemble ces espèces à part.


La Grosse conne européenne

La conne européenne (appelons-la la ) est tout simplement une crétine avec des théories fumeuses et un look très spécifique.

Avant d'arriver au Sénégal, elle avait déjà acheté son pantalon Batik vert jaune rouge. Car la est souvent coooooooool comme une rastafarienne (attention : si tu n'es pas rastafarienne mais que tu corresponds aux autres critères d'identification, tu peux quand même être une ).

La a des conversations qui deviennent vite gonflantes. Elle fume parfois des spliffs mais ce n'est pas une caractèristique obligatoire. Elle est rarement très jolie et adore faire chier la planète en jouant avec son djembé à deux balles.

La rêve d'aller à Kafountine pour retourner aux sources de l'Humanité, cultiver du chanvre et dormir sur la plage en parlant de la solidarité africaine et en se demandant combien elle pourrait gagner si elle était assistante sociale au Sénégal. La un peu vioque (plus souvent observable à Saly et ses environs) remercie Jah de lui avoir offert un africain 20 ans plus jeune qu'elle aime et qui l'aime du plus profond de son coeur malgré sa poitrine qui a commencé à se faire la malle à partir des années 80. Dès ses premiers jours au Sénégal elle téléphone à l'ambassade de France pour connaître les modalités d'obtention d'un visa pour celui qu'elle appelle déjà "son mari". La de Saly est l'espèce la plus naïve de Grosse conne. Elle a rarement le look Ajahman Rastafaraï.

Chez elle en Europe, la peut travailler dans différents secteurs : même si le plus souvent elle se contente de servir dans des cafés l'été pour ne rien glander et toucher le RMI le reste de l'année, il n'est pas rare qu'elle travaille aussi dans des secteurs dit "sociaux" (assistance sociale, associations, enseignement, etc...). Qui d'autre d'ailleurs que des associations, des cafés ou l'éducation nationale embaucherait une ?

Outre sa tenue vestimentaire, on peut reconnaître la grâce à sa coupe de cheveux. En effet elle se fait tresser "à l'africaine" dès que la première occasion se présente. C'est pour elle un signe d'intégration et de respect de la culture africaine. Si la est donc rarement jolie avant d'arriver, elle devient généralement insortable dès cette première séance de tressage. Car rien n'est plus laid que des tresses africaines sur une tête de blanche. Peu importe, elle n'a pas peur du ridicule même si le jour de son retour elle peut avoir un soupçon de regret en voyant la vingtaine d'autres qui se préparent comme elle à monter dans l'avion avec la même coupe à la con et le même djembé à la con. Elle qui se croyait unique, rebelle et originale...

N'ayant pas peur du paradoxe, la peut avoir déblatéré 10 minutes avant la séance de tressage sur les Africaines qui se blanchissent la peau pour ressembler à des Blanches. Mais ça ne la dérange pas de se faire des raies sur la tête laissant apparaître son affreux crâne blanchâtre pour faire comme les Africaines. La est décidemment très très conne.

La est d'une naïveté affligeante et comme on vous l'a dit plus haut, sa conversation et ses théories fumeuses sont rapidement gonflantes. Parmi les hautes pensées philosophiques et déclarations inédites que la peut sortir, on retrouve souvent les suivantes :

"Chez nous c'est le stress alors qu'ici c'est cooooooooooooool !"
"Chez nous y'a pas de solidarité ici vous êtes tous solidaiiiiiiiiiiiiiiiiiires !"
"Pourquoi voulez-vous venir en Europe, ici vous êtes tellement biennnnnnnnnnnn !"

(ces trois premières théories fumeuses peuvent être prononcées à proximité de trois enfants talibés en train de mendier et d'une vieille femme en train de mourir du paludisme. Dans ce cas là - et uniquement dans ce cas là - vous avez le droit de mettre un grand gnon dans la gueule de la )

"Demain je retourne à Kafountine !"
"Combien gagne une assistante sociale au Sénégal ? Je rêve de m'installer ici !" (allez ça aussi ça mérite un gnon)

La se retrouve souvent dans ce qu'elle appelle "une galère". En effet, vu que le plus souvent ceux qu'elle rencontre au Sénégal sont des s africains, il n'est pas rare : qu'elle se fasse arrêter par les flics, qu'elle se fasse piquer son passeport ou ses tunes, qu'elle se fasse entuber sur le paiement de la Peugeot 504 avec laquelle elle est descendue d'Europe. Même si la n'est généralement pas une "fille facile" elle ne dédaigne pas coucher avec un " africain" qui évidemment rêve de rester au Sénégal et n'a aucune arrière-pensée. Elle s'en sort au mieux avec des mycoses sur la chatte au pire avec un DAS qu'elle aura bien mérité. Au moins à son retour, elle coûtera cher à la sécurité sociale mais pas longtemps et ne coûtera rien à la collectivité pour sa retraite.

Outre les s, elle ne dédaigne pas discuter avec tous ceux que les gens normaux étrangers et sénégalais considèrent comme des parasites et des casses-couilles : vendeurs "d'objets d'art", pseudo-guides de mes couilles, tapeurs de djembés à deux balles, rastafariens malades, crados et chômeurs, etc....

Enfin, la , une fois revenue en France peut avoir des idées ingénieuses que personne n'a jamais eu avant : comme par exemple vendre des bijoux sénégalais de fabrication écologique sur les marchés du Tarn-et-Garonne ou donner des cours de djembé.

Si vous croisez une pendant votre séjour au Sénégal, ne la battez pas. Elle pourrait être votre soeur ou votre petite copine : les sont si nombreuses à visiter l'Afrique.

NB : Au Sénégal, la plupart des sont françaises (car les Français sont les plus nombreux étrangers). Mais les belges, espagnoles, italiennes et hollandaises commencent aussi à venir. Suissesses et Américaines font rarement partie des s. Hasard ou non, ce sont souvent aussi les plus jolies et les moins gonflantes.

Vas-y ! >>>>>>>>>senegalaisement.com (accueil)

dimanche 18 janvier 2009

Ces enseignants qui font de la Web-résistance

Source : http://www.lexpress.fr/actualite/societe/ces-enseignants-qui-font-de-la-web-resistance_726892.html

La fronde contre la réforme menée par Xavier Darcos s'exprime sur le terrain -occupations d'établissements, refus d'appliquer le soutien scolaire, manifestations, grèves...- mais aussi sur le Web. Tour d'horizon.

Il est d'autres lieux que le pavé où certains esprits s'échauffent contre ce qu'ils appellent la "casse organisée de l'école publique libre et gratuite". Sur le Web notamment, où de nombreux enseignants ont troqué pupitre et cahiers pour exprimer leurs griefs.

Au début isolés, les enseignants appelant à la "désobéissance civile" sont de plus en plus entendus sur la blogosphère, comme le montre l'appel à la mobilisation lancé par le blog "Résistance pédagogique pour l'avenir de l'école". Ici, les instituteurs n'hésitent pas à faire part de leurs craintes comme Sylvain: "L'école est en 'chantier' et le port du casque obligatoire, vu ce qui nous tombe sur la tête. Mais il s'agit d'un chantier de démontage au prétexte d'une prétendue rénovation du quartier scolaire". Les griefs ne manquent pas pour ce maître d'école: "nouveaux 'vieux' programmes, suppression imposée du samedi matin, de la carte scolaire, des Rased, d'enseignants mis à disposition (MAD) et des IUFM, mise en concurrence des établissements et des formations, loi sur le service minimum d'accueil (SMA), diminution du nombre de postes (...). Ces pièces du puzzle qui s'assemblent jour après jour sous nos yeux ont été découpées par une main de fer qui ne tremble pas." Sur Résistance pédagogique 16 , les auteurs en rajoutent: "Non aux réformes en cours, dont l'objectif est de privilégier l'enseignement privé, d'abandonner les élèves en difficulté et surtout les élèves en difficulté issus des classes sociales les plus faibles."

Le mot d'ordre est lâché: "Résistance". Sur le blog de Dom, un appel à ne plus mettre en oeuvre le dispositif d'aide personnalisée est lancé, au travers d'un communiqué du Collectif des enseignants en résistance. Et l'auteur de s'insurger contre la sanction prise à l'encontre de Bastien Cazals, directeur de l'école maternelle Louise-Michel de St-Jean-de-Védas (Hérault), qui a vu une retenue de cinq jours sur son salaire appliquée "pour n'avoir pas mis en oeuvre l'aide personnalisée dans son école". Une sanction "précipitée et disproportionnée", estime Dom. On retrouve cette verve revendicative ailleurs sur la blogosphère, comme sur le blog des enseignants du primaire, qui mêle humour et billets d'humeur.

A voir l'ampleur de la mobilisation sur le Web, le mouvement semble bien parti pour passer le cap des vacances scolaires. Réponse dans quelques semaines...

Spéciale dédicace !

Television the drug of the nation



Source : Francky's Blog

Manif pour l'école publique Strasbourg (67)



DNA du 17 janvier
400 à 500 personnes à Strasbourg, 250 à Mulhouse (vidéo)
Mis en ligne à 17h

400 à 500 personnes se sont retrouvées en début d'après-midi place Kléber à Strasbourg pour manifester pour la ''défense du service public de l'Education''. Dans les rangs des manifestants, des enseignants du primaires venus de Strasbourg mais aussi des vallées vosgiennes, des parents d'élèves, des ...

L'alsace : Les enseignants étaient en noir...


Filmé par FRANCE 3 Alsace

Sauvons les RASED !


Quelques notions du tronc commun déjà bien acquises par le gouvernement:

Savoir

- Calculer le nombre de postes RASED à supprimer
- Mesurer l'économie réalisée (somme en €)
- Comparer le poids des réformes sur les budgets
- Multiplier les réformes
- Classer, ranger les personnels pour remettre de l'ordre
- Faire des collections de jours de grèves
- Réaliser, construire un musée de notre bonne vielle école républicaine
- Dénombrer les résistants
- Diviser pour mieux régner
- Se soustraire aux directives ministérielles
- Appliquer les règles d'associativité et de commutativité de l'addition :

1500 postes sédentarisés + 1500 postes en surnombre = 3000 postes RASED supprimés
CQFD

- Savoir résoudre un problème en sachant quelle opération choisir : les soustractions successives, par exemple...

et bien d'autres à venir !!!

samedi 17 janvier 2009

CHARLIE HEBDO contre les réformes XD

>>>>>>>>Les affiches de la manif du jour

Supplément de 8 pages portant le n°865.


Petit extrait (Hara-kiri)

Show-biz : Johnny Hallyday censure le groupe des Fatals Picards qui voulait intituler une de ses chansons
"Le jour de la mort de Johnny"
.
"Et si je meurs une nuit, elle veut plus rien dire, la chanson"
a-t-il déclaré.

Tentative créative

jeudi 15 janvier 2009

Méditation


La non-violence est la plus grande force que l'humanité ait à sa disposition.
Elle est plus puissante que l'arme la plus destructrice inventée par l'homme.


Gandhi (Tous les hommes sont frères, 1969, Unesco)


Le 30 janvier 1948, quelques mois après l'indépendance de l'Inde, le Mahatma Gandhi tombe sous les balles d'un extrêmiste hindou. Gandhi avait milité 30 ans durant contre la colonisation britannique du sous-continent par les méthodes de la désobéissance civile et de la lutte non-violente, dont il est aujourd'hui encore le symbole.

mercredi 14 janvier 2009

Evaluation CM2


Une évaluation mal conçue ? L’avis de Rémi Brissiaud

Spécialiste de la didactique des mathématiques, Rémi Brissiaud estime que l’évaluation de CM2 n’éclairera pas les enseignants et cadre mal avec les pratiques de classe. Nous connaissons aujourd’hui le contenu des épreuves d’évaluation CM2 [1].

Il convient tout d’abord de remarquer que les deux problèmes majeurs que pose ce dispositif sont indépendants de son contenu : d’une part le projet de rendre public les résultats aura pour conséquence une mise en concurrence des écoles, d’autre part la rétribution des seuls maîtres de CM2 rompt avec les pratiques antérieures où les enseignants des divers niveaux dépouillaient et analysaient collectivement les épreuves d’évaluation.

Deux autres problèmes sont, eux aussi, plutôt indépendants du contenu des épreuves : 1°) Comment peut-on changer les programmes en milieu d’année scolaire et penser que les enseignants, dès la rentrée suivante, concevront clairement une progression pédagogique visant à en atteindre les objectifs ? Comment peut-on penser que les enseignants disposeront dès ce moment des moyens pédagogiques, c’est-à-dire des outils, des gestes professionnels correspondants ?C’est absurde de penser cela, c’est même offensant pour le métier parce que c’est penser qu’il suffirait de claquer des doigts pour que des pratiques professionnelles pertinentes en regard d’objectifs déterminés, surgissent comme par miracle, sans formation et sans réflexion collective. Mais même si c’était le cas, une deuxième question se poserait : 2°) Comment peut-on changer les programmes en milieu d’année scolaire et penser que les enseignants pourront évaluer leurs élèves sur ces programmes dès l’année suivante alors qu’ils les auront utilisés, au mieux, une année scolaire en fin de CE1 et un trimestre au mois de janvier du CM2 ? Même si les pratiques pédagogiques correspondantes étaient déjà codifiées quelque part, elles se fonderaient sur une progression où l’ordre dans lequel les notions sont abordées est planifié de manière pluriannuelle. Vouloir atteindre les mêmes objectifs en un trimestre risque de conduire aux pires dérives. Disons quand même quelques mots sur le contenu de l’épreuve de mathématiques. Elle comporte peu d’items portant spécifiquement sur les programmes 2008.

Cependant, il est raisonnable de penser que pas un seul enseignant n’aurait programmé son enseignement de la même manière s’il avait connu le contenu de cette évaluation. Par exemple : pour que les élèves réussissent ces épreuves, les nombres décimaux doivent être abordés plus précocement au CM1 qu’ils ne le sont généralement, afin d’être sûr que les élèves aient suffisamment fréquenté ces nombres à ce niveau de la scolarité. Ils doivent également être revus dès le début de l’année en CM2. La plupart des chercheurs s’accordent pour penser que seules les progressions où les décimaux apparaissent comme des fractions particulières permettent aux élèves une compréhension approfondie de ces nombres. Avec ces nouvelles contraintes, il sera plus difficile aux maîtres de CM2 d’aborder d’abord les fractions décimales (en utilisant la barre de fraction) avant d’expliciter la notation avec une virgule. Par peur de manquer de temps, de nombreux maîtres risquent d’abandonner ce type de progressions. C’est d’autant plus grave que l’épreuve d’évaluation ne comporte aucun item permettant d’apprécier une compréhension approfondie des décimaux. Une interrogation classique ayant cet objectif consiste par exemple à demander aux élèves de comparer des nombres tels que 23,18 et 23,7. En effet, les élèves qui conçoivent de manière erronée chacune de ces écritures comme la juxtaposition de deux entiers, font l’erreur de considérer que 23,18 > 23,7 parce que 18 > 7.

Dans le cadre d’une politique éducative responsable, il n’est pas acceptable d’inciter les enseignants à abandonner des progressions sans se donner les moyens d’apprécier si cet abandon est préjudiciable à la compréhension des élèves. De plus, et de toute évidence, la priorité des concepteurs de l’épreuve n’a pas été d’évaluer la compréhension des opérations arithmétiques. En effet, il n’y a pratiquement pas de résolution de problèmes arithmétiques alors que c’est évidemment un moyen privilégié d’apprécier cette compréhension. On dispose même aujourd’hui de moyens sophistiqués pour distinguer dans la résolution d’un problème, ce qui relève des compétences calculatoires d’une part et de la compréhension de l’opération de l’autre. Ainsi, les problèmes (i) et (ii) suivants sont très bien réussis : (i) Avec 150 objets on fait des paquets de 50 objets. Combien de paquets peut-on faire ?(ii) On partage 150 objets en 3 parts égales. Combien y aura-t-il d’objets dans une part ?En revanche, le problème (iii) est lui beaucoup plus souvent échoué : (iii) Avec 150 objets on fait des paquets de 3 objets. Combien de paquets peut-on faire ?Si un élève échoue au problème (iii) alors qu’il réussit les problèmes (i) et (ii), ce n’est pas parce qu’il n’en comprend pas l’énoncé : il réussit le problème (i) qui a le même énoncé ! Ce n’est pas non plus parce qu’il ne sait pas faire la division par 3 : il réussit le problème (ii) qui lui aussi se résout par cette division. En fait, si un tel élève échoue le problème (iii), c’est parce qu’il ne comprend pas la division : il ne sait pas qu’un problème de quotition (en 150, combien de fois 3 ?) peut se résoudre en effectuant une partition (150 partagés en 3 parts égales).Ne serait-il pas intéressant que les enseignants puissent faire un diagnostic précis de l’origine des difficultés de leurs élèves ? Ne serait-il pas important que le système éducatif dispose d’informations susceptibles de l’alerter parce que de manière générale, l’accent serait insuffisamment mis sur la compréhension à l’école ? Il est vrai que les travaux scientifiques correspondants sont assez récents[2].

Mais pourquoi, depuis que Monsieur Darcos est au ministère, les spécialistes de l’apprentissage dans les divers domaines de connaissances ne sont-ils pas consultés pour donner leur avis sur les programmes et sur le contenu de telles épreuves ?Le Ministre de l’Éducation Nationale vient de reconnaître qu’il n’avait pas engagé la réforme de l’école maternelle et du Lycée comme il aurait fallu le faire. Quand reconnaîtra-t-il qu’il n’a pas fait mieux avec l’école élémentaire ?

Rémi Brissiaud[1] www.darcos-demission.org/ [2] Brissiaud, R. & Sander, E. (sous presse) Arithmetic word problem solving : a Situtation Strategy First framework. Developmental Science.

Source : snuipp68>>>http://68.snuipp.fr/spip.php?article978

lundi 12 janvier 2009

collectif.sept.68@gmail.com

Pour info,

Les voeux d'Eve Arbogast (rééducatrice à l'école Saint Exupéry de Colmar) à son IEN.

Roland Braun



Monsieur Riber,

Merci pour vos voeux 2009, reçus hier avec beaucoup d'amertume, je dois dire !

Je venais de recevoir au même moment le mail de mes collègues maîtresses E, complètement décontenancées par l'"annonce" des sédentarisations prévues sur votre Réseau colmarien !...
Ainsi donc, vous acceptez, ce démantèlement de nos Rased, si importants pourtant, disiez vous ..... Vous acceptez et cautionnez que nos élèves soient encore moins "prioritaires" dans les aides que nous pourrons leur apporter ! Et pourtant, ne pensez vous pas que si nous acceptons cette mesure cette année, nous serons encore moins efficients et donc encore plus à même d'être sédentarisés et supprimés dans les deux prochaines années ?...J'avais donc raison d'avoir peur et raison de vouloir rester vigilante dès septembre ! Et l'année prochaine ? un ou deux rééducateurs en moins sur Colmar, des départs à la retraite, des départs "spontanés" de collègues et ...des directeurs chefs d'entreprise ! Je ne reconnais plus mon Ecole.... celle pour laquelle j'ai toujours accepté de me battre, sans compter ni les heures ni la surcharge de travail... TOUS les enfants-élèves dans un milieu protégé, au coeur des apprentissages, accompagnés et encadrés par des équipes solides stables et rassurantes... POURQUOI faut-il "casser" ces écoles, ces lieux de vie (et de survie, parfois !!) Pourquoi acceptons nous de laisser déstabiliser ces équipes, ces personnes humaines et ressources?? ces collègues qui sont en formation ? ces collègues qui s'entendent signifier leur future sédentarisation?? qui sont depuis plus de six mois terriblement insécurisés, qui sont placés dans une angoisse permanente, qui ne savent rien de leur avenir ?? postes fléchés? à profils? au mouvement?? sur volontariat??ou imposés??
Monsieur Riber, vous êtes pilote de votre Rased, nos Rased, nous en avons parlé bien souvent, mais je ne comprends pas trop votre précipitation à inviter certains de nos collègues, mais pas tous - pourquoi ?? stratégie ?? ou "diviser pour mieux régner" ?? Nous sommes très perplexes, nous pensions pouvoir être associés à des réflexions sur notre avenir.... Comment ne pas être démobilisés, démotivés dans notre travail? Comment s'étonner que des collègues, des collègues "bien dans l'institution", avec une haute opinion de leur mission (les hussards noirs de la république....) jusque là, commencent à douter puis à désobéir ??
2009 me semble inquiétante, oui, parce que l'avenir de l'Ecole Publique est en jeu ! Faut-il tout accepter ou aurions nous un devoir de parler et de résister??
Je vous souhaite néanmoins pour 2009, beaucoup de rencontres, d'échanges, de vigilance aussi, de solidarité et de fraternité pour piloter le plus humainement possible notre Rased !

Eve ARBOGAST, rééducatrice en sursis .....

Publié par Collectif SEPT68

samedi 10 janvier 2009

mercredi 7 janvier 2009

Petites annonces EN



Remplacement:
A quand dans notre département des annonces de ce type...

Dans le 93, l'ANPE recrute des "instituteurs" remplaçants en CDD 5 mois, à 8,71 euros de l'heure.

Dans le 79, l'IA recrute pour un CDD d'un mois un professeur des écoles.
En côte d'Armor, l'IA fait appel à l'ANPE pour trouver un PE remplacements courte durée.

Dans l'enseignement spécialisé, CDD de 3 mois.
Source : sgen68

Et le gouvernement supprime des postes....euh... sédentarise plutôt...

mardi 6 janvier 2009

Petit détail à relever !




Ce scandale, passé sous silence dans la plupart des médias, a été diffusé dans un article du Canard Enchainé.

Nicolas Sarkozy a décidé d’offrir aux expatriés la gratuité des écoles et lycées français de l’étranger. Un cadeau sympa, non ? Sauf qu’il va surtout profiter aux plus aisés, et que l’addition, pour l’Etat, s’annonce carabinée.

Ces écoles, très cotées étaient jusqu’à présent payantes. Certaines écoles sont des établissements publics, d’autres, privés sous contrat. En tout 160 000 élèves y sont scolarisés, dont 80 000 français.

Sous la tutelle du Quai d’Orsay, chaque établissement fixe assez librement ses tarifs et ça atteint des sommets : 5 500 euros l’année à Tokyo, 6 500 à Londres, 15 000 à New York et 17 000 euros à San Francisco. Pour les expatriés modestes, un système de bourses plutôt généreux est déjà en place. A New York, par exemple, il faut gagner moins de 65 000 euros par an pour décrocher 4 500 euros d’aide. Environ un quart des élèves français bénéficient d’une bourse. Depuis l’an dernier et à la demande express de l’Elysée, l’Etat prend en charge l’intégralité des frais de scolarité des élèves français de terminale... quels que soient les revenus des parents. Plus besoin de bourse ! A la rentrée de septembre, ce sera le tour des premières, puis des secondes l’an prochain, et ainsi de suite. A Londres, l’une des familles concernées par ce généreux cadeau déclare plus de 2 millions d’euros de revenus annuels. Jusqu’alors, une partie du financement était assurée par des grandes entreprises françaises désireuses d’attirer leurs cadres vers l’étranger. Ces boites, comme Darty ou Auchan, rentrent déjà leur chéquier : pourquoi payer les frais de leurs expat’ si l’Etat régale ?

D’ici dix ans, appliquée du lycée jusqu’au CP ( sans parler de la maternelle), la gratuité coûterait à l’Etat la bagatelle de 713 millions d’euros par an !

Il est à noter que c’est l’équivalent du salaire annuel de 15 000 enseignants.

samedi 3 janvier 2009

Expo au CRAC Alsace

ValeThidet

Waoohhh!
Le merveilleux dans l'art contemporain (1er volet)
19 octobre > 4 janvier 09


Alice Anderson (GB)
Michel Blazy (Fr)
Nicolas Darrot (Fr)
Johnston Foster (EU)
Christian Gonzenbach (Ch)
Gaëlle Hippolyte et Lina Hentgen (Fr)
Vincent Kohler (Ch)
Zoë Mendelson (GB)
Bruno Pelassy (Fr)
Pierrick Sorin (Fr)
Stéphane Thidet (Fr)
João Pedro Vale (Pt)
+ Virginie Yassef (Fr)

D’octobre à avril prochains, le CRAC Alsace se place sous le signe du merveilleux , avec deux expositions successives : Waoohhh ! (automne 2008) et Chhttt…(début 2009). Celles-ci proposent deux approches complémentaires et contemporaines d’un thème à la fois classique et très actuel.

Waoohhh !
Le merveilleux à l’œuvre dans Waoohhh ! est tour à tour celui d’Alice, des contes de fées, des effets spéciaux et de la science-fiction. L’extraordinaire et le surnaturel sont au cœur de l’exposition et les œuvres, souvent spectaculaires, ont un impact physique et/ou visuel qui provoque chez le spectateur un émerveillement immédiat : celui où l’on ouvre grand les yeux et la bouche.
Pour parvenir à cet effet, les artistes puisent à des sources variées : le(s) monde(s) de l’enfance, l’imagerie populaire, l’histoire de l’art, le fantastique, voire le monde contemporain.
Et, dans cette recherche, tous les moyens – d’ailleurs parfois en eux-mêmes créateurs de merveilleux - sont bons : l’agrandissement (Joao Pedro Vale) comme le goût du détail (Zoe Mendelson), le burlesque (Pierrick Sorin) comme les ‘effets spéciaux’ (Nicolas Darrot), l’accumulation (Johnston Foster) comme le pourrissement (Michel Blazy), etc.

Allez-y ! >>>>>>>>

vendredi 2 janvier 2009

Sénégal me voilà !

Ile de Gorée février 2005

Préparation en cours !

Mode opératoire :
1 : lecture du guide
2 : réservation du vol
3 : contacts pour chambres d'hôtes à Rufisque
4 : combien ça va coûter ?
5 : faire la liste des bagages à emporter
6 : passeports en règle
7 : prendre RDV chez le médecin
8 : faire les vaccins
9 : aller à la pharmacie pour acheter le traitement anti-palu
10 : organiser la visite des sites
11 : prévoir des sacs pour ramener les instruments

Ai-je oublié quelque chose ?